12 artistes exposeront leurs oeuvres dans la ville, que le public pourra découvrir au détour d'une place ou d'une rue :
- Square Paul Louis Weiller
le travail de Guillaume Barth l’Arbre bleu, d’inspiration asiatique, colonise le Paulownia, arbre remarquable
- Parvis du temple protestant :
avec Pulsations de Scenocosme (Grégory Lasserre et Anaïs met den Ancxt), les arbres entrent en résonance lorsque le spectateur met son oreille ou son corps contre le tronc,
- Comme un fil d’Ariane à travers les rues de la ville :
nous suivons Eva T. Bony et son expérience unique Protos, la succession dans le temps d’une suite sans fin, celle du Nombre premier,
- Dans le jardin du tribunal d’instance :
avec Axel Gouala et son projet Une Idée de Nature, vivez la réinterprétation de l’ornementation des chapiteaux corinthiens, source d’inspiration dans sa création contemporaine,
- Place du Général de Gaulle :
l’imaginaire d’Apolline Grivelet propose La cabane de papier, construite en "briques d’encyclopédies" qui sera conquise par la nature au fil des semaines,
- Place du Dr Maurice Kubler :
Anne Houel déverse 30 tonnes de sable afin de créer un évènement ludique et participatif autour d’éphémère et en invitant les spectateurs à activer l’oeuvre en réalisant "des pâtés de maison",
- Place de la République :
TTT est une sculpture contemplative présentée par Alexandre Kato, qui s’inspire de l’esthétique des jardins secs japonais,
- Sur la verrière de la mairie :
Scenocosme (Grégory Lasserre & Anaïs met den Ancxt) propose Urban Lights Contacts, une lumineuse, mettant en scène les corps des spectateurs et les transformant en instruments sonores humains,
- Façade de l'hôtel de ville :
Mehryl Levisse, avec son oeuvre Avoir le sens de la mesure, spécialement pensée pour l’hôtel de ville, pose un "papier peint" sur la façade, mêlant et entremêlant formes et motifs fleuris,
- Mur d’enceinte de l’espace Martel-Catala :
évoquant le végétal et l’ornemental sur un fond d’étrangeté, voire de monstruosité, les céramiques Grotesques de Cécile Meynier, ornent le mur,
- Panneaux d’affichage du centre-ville :
Compositions sur le marbre, série de photographies de Françoise Saur disséminées dans les panneaux d’affichage du centre-ville, permet au public de se confronter à une nature sortie de son contexte, une nature isolée, une nature dans un milieu urbain minéral,
- Façade de l'arsenal Sainte-Barbe :
installation hybride née du croisement de deux manifestations urbaines opposées, celle du graffiteur et celle de l’habitant qui enjolive ses balcons avec des jardinières, l’oeuvre Wild / Crash / Push d’Aurélie Slonina irradie la façade.